Laurent, ex bômeur, actuellement entrepreneur, voyageur, runner, globe-trotter et french-lover.
Polyglotte (je parle 5 langues ou 6 en ajoutant le dialecte alsacien !), j’ai toujours aimé voyager et aller la découverte d’autres cultures, civilisations et coutumes. J’ai vécu, étudié et travaillé à Berlin en Allemagne, à Utrecht aux Pays-Bas. J’ai visité 38 pays dans le monde (il me reste donc encore 80 % du monde à découvrir) mais ce n’est qu’en 2012 que j’ai appris à voyager différemment.
Alsacien d’origine, profondément Européen, je suis Parisien d’adoption depuis 8 ans. Après 13 années de travail acharné au sein d’un même groupe dans différents pays et différentes entreprises où j’ai gravi les échelons de Responsable marketing à Directeur général, j’ai subi les foudres du capitalisme et du libéralisme à outrance fin 2011 et me suis donc retrouvé début 2012 en « transition professionnelle » (c’est le mot politiquement correct pour le chômage). Ce break s’est avéré être une chance et non une fatalité car comme dirait Adeline de Voyages etc : J’ai appris à vivre !
Grâce aux formidables rencontres lors de l’Apérovoyageurs du mois d’avril 2012 et grâce à mon amie Mélanie alias Marcopaulette, j’ai décidé le 23 avril 2012 que moi aussi j’allais faire un Tour du monde en 60 jours et devenir le Phileas Fogg du 21ème siècle en partant 15 jours après c’est à dire le 7 mai 2012 (le lendemain de l’élection présidentielle) car Pour moi, le changement c’est vraiment maintenant !
Ce voyage a constitué un changement dans ma vie. Même si j’ai toujours eu la passion des voyages, ce Tour du monde en 60 jours m’a donné plus que jamais l’envie de continuer à voyager, de découvrir d’autres cultures, d’autres traditions et d’autres modes de vie.
Ce voyage m’a également rendu plus zen et plus confiant. Il m’a permis de comprendre qu’en prenant la vie avec philosophie, tout pouvait être simple et facile même à l’autre bout du monde quand on ne maîtrise ni la langue du pays ni les us et coutumes du pays comme au Japon. Il suffit de le vouloir, d’essayer, de tenter sa chance, de prendre des risques et d’y aller. Yalla ! Je reprendrai ma fameuse citation de Soeur Emmanuelle : « La vie est un risque. Si tu n’as pas risqué, tu n’as pas vécu. C’est ce qui donne… un goût de champagne ».
Je ne sais pas encore exactement où et quand je vais partir en 2013 (même si j’ai déjà quelques idées) mais ce qui est sûr c’est que je serai #SurLaRouteEn2013 !